Pourkoi bon dié i vien koz ek nou asteur ?
Comme les autres messages clés donnés auparavant, la descente d'un tel message du Ciel ne peut pas être dissociée du contexte historique, social, spirituel dans lequel se trouve l'humanité au moment où il est transmis.
Au vu de la gravité de la situation de l'humanité et l'état dans lequel elle a mis la planète aujourd'hui, tout le monde comprend la nécessité d'un appel pressent et fort du Ciel envers l'homme pour changer son comportement et sa mentalité.
Car la Vérité, c'est que le monde doit changer, Je n'ai rien dit d'autre à Mes Témoins. (Evangile d'Arès, 1974, veillée 28,7)
Mais nous n'aurions pas pu écrire ces lignes en 1974 et 1977, dates des messages. En effet, dans les années 70, la situation de l'humanité et de la planète n'était pas encore celle que nous connaissons aujourd'hui.
Le terrorisme existait déjà mais concernait surtout le problème palestinien, l'Islam n'avait pas encore basculé dans la folie meurtrière et fondamentaliste,
En France notamment la religion chrétienne ne s'était pas encore effondrée et les Français ne se déclaraient pas athées à 40% comme en 2010.
Beaucoup de personnes ne croyaient pas à la catastrophe climatique et écologique qui était déjà annoncée par des scientifiques (voir le débat (prophétique) sur le site de l'INA entre le vulcanologue Haroun Tazief qui annonçait l'effet de serre dû aux émissions de gaz carbonique et le Commandant Cousteau qui n'y croyait pas).
Nous connaissions moins bien les ravages des produits chimiques sur la santé des hommes et des animaux, les abeilles n'étaient pas encore décimées par les insecticides.
La liste est longue....
Mais le Ciel dans son omniscience savait très bien vers quel avenir l'humanité se projetait et avait donné l'avertissement préalable avant que tout cela ne se produise. Mais à cette époque (1974 et 1977) très peu de gens furent sensibles à ce message. Les conditions sont certainement réunies à présent pour que ce message trouve l'écho nécessaire auprès de l'humanité pour débuter enfin ce changement de cap individuel et collectif indispensable avant que la situation ne s'aggrave encore plus :
L'or pourri; le feu éteint; le soleil froid; le blé vide. (Le Livre, 1977, Chapitre 26,8)