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  • Photo du rédacteurLe bon Livre Le Bon Livre

Je suis musulman et Dieu ne parle plus après Mouhamad

Dernière mise à jour : 7 nov. 2022

A moin lé musulman é bon dié la fini kosé aprè Mahomet

Je suis Celui Qui a parlé par Mouhamad (Evangile d'Arès, Veillée 8,9)

La Révélation d'Arès s'adresse à tous, à toute l'humanité, bien que spirituellement parlant les croyants concernés par ce message sont les gens du Livre.

Et parmi eux, il y a les musulmans.


Il y a encore une idée répandue chez les personnes de tradition juive et chrétienne que Mahomet n'est pas un prophète de Dieu et que le Coran n'est pas un Livre de la Révélation. Elles se trompent, cette croyance est héritée du passé et des querelles de religion.

Je suis Celui Qui a parlé par Mouhamad, le briseur d'idoles, le plus écouté de Mes Messagers, le plus sage, qui n'a pas fait ployer son peuple sous les observances et ne l'a pas fait fléchir sous les ordonnances des princes du culte, et qui pour cela a connu une descendance vaste comme le sable des rivages où ils échouent leurs boutres pour la prière, comme le sable des déserts dont J'ai fait jaillir pour eux la richesse et la puissance, le fils d'Adam qui repose à Yatreb, attendant Mon Jour. (Evangile d'Arès, 1974 veillée 2,9).

Pour les musulmans, c'est différent, ils acceptent les Livres précédents puisqu'ils sont présentés dans le Coran comme étant des Révélations authentiques.

Pour eux, le problème est ailleurs.

La difficulté des musulmans à accepter une nouvelle Parole envoyée à un nouveau prophète est due en grande partie à ce verset du Coran :

Mouhamad n'a jamais été le père de l'un de vos hommes, mais le messager de Dieu et le sceau des prophètes. Dieu est Omniscient. » (Les coalisés 33/40)

Ce verset a été compris de la manière suivante : Mouhamad est le dernier (sceau) des prophètes. Deux erreurs d'interprétation ont été faites au cours des siècles, la première concerne la différence entre messager et prophète, la deuxième est le sens trop restrictif donné à sceau : dernier, or un sceau est ce qui identifie et confirme un document.


Mouhamad est bien le dernier des prophètes pour les musulmans qui ne recevront plus de prophètes et de révélations, il s'est d'ailleurs qualifié lui-même en s'adressant à tous les croyants :

« Dis : Ô hommes ! Je suis pour vous tous le Messager de Dieu, à Qui appartient la Royauté (Al-Moulk) des cieux et de la terre. » (L’enceinte du paradis 7/158).

Il n'a pas dit : « je suis pour vous tous le prophète de Dieu » car il a été le prophète des « oumiyin » [gens sans Livre ou Connaissance spirituelle] :

« Croyez donc en Dieu, en Son messager, le Prophète ‘oumiy’/illettré [sans Livre ou Connaissance spirituelle]. » (L'enceinte du paradis 7/158)

Avec le sceau fait sur Mouhamad, la Révélation est authentique et complète, mais pas close. Comment Dieu pourrait-il s'interdire de parler à l'humanité où il veut, quand il veut et par qui il veut ?

J'ai voulu parler par d'autres en grand nombre... (Evangile d'Arès, 1974, veillée 2,16)

Croire que Mouhamad est le dernier des prophètes est en contradiction avec d'autres versets qui concernent le pacte des prophètes : la famille Imran, 81. Mais le développement ce cet argumentaire serait trop long ici et pourra être abordé dans d'autres publications.


En conséquence, Mouhamad n'est pas le dernier des messagers pour les gens du Livre mais le Coran qu'il a transmis reste pleinement ouvert pour les générations qui viennent :

Le Bon [Jésus] dit : « Ferme le livre l'homme ! Tu ouvres bon Livre devant les frères. » Ferme le Livre les siècles ! Ferme, sauf Mouhamad ! Ses frères sont droits changeurs ; donnent contre fidélité bon change. (Le Livre, 1977, chapitre 1,5-6)
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